Paroles : (en japonais)
Futari de zutto odoru yakusoku
Fukuramu mune ga uso ni suru
Amairo no kami kagami utsushite
Junban tagai ni suite iku
Onaji beddo yurareteta
Futari fureaute to te musundeta ito
Mishiranu kao utsuru
Sasayaku koe hikuku
Nigiru HANMAA tataki tsukeru no
Tobichire GARASUTO
Futari de tsunda shiro
Tsumi kisaikou kusushite
Kishimu hone kishi to hime e to
Kane ga tsugeru ENDO
Yugamu kagamite to te awase zureru yubi no nagasa
Kore kara chigau beddo de neru no ?
Kimi ga tsubuyaku [oyasumi]
Doa no bumawashi tobira wo akeru
Oto ni hane okitsukamu suso e
Nobita yubi ni kuchidzukete
Hashiru shoudou sebone nukete iku setsuna
Akari wa kesanai de
Hitori de neru yoru wa
Mada iya to sakenda migite de
Butsukeru no makura
[Obake ga kowai] nante kodomo dane boku no hime
Nureta hitomi chigau kotoba
Iitage ni mitsumeru
Papa to mama no shiranai jikan wa
Owaru no kana ? Tooi yume
Usui taoru koshi todoku netsu ga
Kowasu boku no tomegane
Koe wo oshi koroshite
Tobira wa kagishimete
Mitsume au hitomi to hitomi ga
Kotae wo sagasu
Osanai iiwake wo akari goto keshite iku
Sono kami wo sukue nai nara
Boku ha uso mo tsuku yo
Toki wo tomete ima wa
Futari de dakiatte
Kizamu kodou hitotsu hitotsu wo
SHINKURO sasetai
Toketeku atsui iki
Dakitometa nukumori ni
Kore ijou ha ugokenai yo
Maru de kimi no NAITO
Traduction (en français)
(...)
Rin : La danse éternelle que nous nous étions promis
Remplie nos coeurs de mensonges.
Nos cheveux se reflètent dans le miroir
Si ressemblant de l'un comme l'autre.
Len : Dans notre lit, tout frissonnant,
Nous sommes entrés en contact
Comme si nos mains étaient attachées d'une ficelle.
Rin : Visage innocent apparaissant
Avec de doux murmures.
Je prend un marteau et frappe dans une vitre,
La brisant en morceaux.
Len : Les deux personnes dans le château,
Détruisaient tout à l'intérieur,
Tel un chevalier sauvant sa princesse,
La cloche annonce la fin.
(...)
Len : Plonger ses mains dans le miroir des distorsions,
La longueur de nos doigts n'est pas la même.
Rin : Cette nuit, dormirons-nous dans des lits différents ?
Tu es venus me souhaiter "Bonne nuit".
Tournant la poignée, tu as ouvers la porte,
Son grincement résonnait et j'essayais de te rattraper.
Len : Je dépose un baiser sur ton doigt tendu.
L'envie de courir
A traverser mon dos à cet instant-là.
Rin : N'éteins pas la lumière,
Je dormirais seule demain, sans doute.
Je ne veux pas de nouveau l'être,
Dis-je ma main contre mon oreille.
Len : "J'ai peur des monstres",
Il n'y a pas à avoir honte, ma princesse.
Tes yeux pleins de larmes me disent que j'ai tords,
Mais ton regard ne me donnent aucunes explications.
Rin : Le temps volé par maman et papa.
Ce n'est plus le cas donc un rêve lointain...
Len : La chaleur passe à travers l'immense tour
Et tu brises un de ses murs sans parler...
Rin : La porte se verrouille devant nous à l'aide d'une clé,
Nous nous fixons droit dans les yeux mutuellement
Afin de trouver une réponse.
Len : Eteindre les lumières est une excuse si infantile.
Je ne devrais pas toucher tes cheveux,
Si je ne mentais pas autant.
Rin : Le temps s'est soudainement arrêté
Et deux personnes se partagent un baiser.
Chaque b attement de ton coeur que j'entend
Voudraient que je synchronise les miens avec les tiens.
Len : Ton souffle chaud se dissout,
Tout comme ton étreite qui prend fin.
Après cela, je ne bougeais pas
Parce que je suis ton chevalier.
(...)